Durant la petite enfance, nous savons à quel point il est important
d'être là pour son bout d'chou : activités à deux, sorties
culturelles, lecture de contes avant de se coucher... Mais
que se passe-t-il quand nous laissons notre enfant sans surveillance,
parce qu'il est assez grand pour rentrer de l'école tout seul ? La prévention joue un rôle clef dans sa protection : « ne parle pas aux inconnus » « n'accepte pas de bonbons d'un inconnu » « ne suis pas un inconnu »... Tout est fait pour que l'enfant développe une méfiance des adultes qu'il ne connaît pas
et qui pourraient lui vouloir du mal.
Petite fille, ma mère
et mon père m'ont averti de ces dangers, comme tous les parents.
Mais ce qui a enfoncé le clou, ce sont des œuvres, vues ou lues à
l'école, qui portaient ce message de prévention : elles m'ont
marquée à vie. Cette semaine, je vous
présente ce film et cette nouvelle, issue d'un recueil, qui m'ont
sensiblisée à ces dangers. J'y inclus en bonus un livre sans
dialogue, plus récent, et qui, selon ma lecture, offre une morale
totalement inverse, qu'il ne faut à mon sens pas laisser entre des
mains innocentes et naïves.
2 oeuvres pour protéger les enfants des prédateurs
Histoires pressées - Alma
Film
Alma, Rodrigo Blass (2009, 5 minutes)
Réalisé par Rodrigo Blaas en 2009, Alma est un court métrage
homonyme de 5 minutes seulement, suivant une petite fille blonde qui
se balade seule dans des rues étroites d'une ville prise d'assaut
par une neige, ancrée sur ses toits, sur son sol, sur son manteau.
Elle découvre un tableau noir où des dizaines et des dizaines de
prénoms d'enfants ont été écrits à la main, tracés avec
application par les enfants eux-mêmes, à la craie blanche.
Certaines écritures, plus hésitantes que d'autres, ont l'air
d'avoir été faites par des enfants de 5 ans, là où les plus âgés
devaient avoir 10-11ans.
Un bruit la fait se retourner :
dans la devanture d'une boutique sans écriteau, sans âme qui vive,
est exposée une magnifique poupée qui lui ressemble à la
perfection, de la couleur de ses yeux à ses vêtements d'hiver.
Tentée, Alma, qui signifie « âme » en espagnol, veut
posséder cette poupée, quitte à entrer seule dans ce magasin qui
lui est inconnu. Mais ce qu'elle ne remarque pas, ce sont ces
affiches de disparitions d'enfants sur les murs de la ruelle où un
mot se détache : « PELIGRO », qui signifie
« DANGER ». Quel danger menace la petite fille ?
Beaucoup d'enfants de ma génération
ont vu ce court-métrage à l'école : je ne fais pas exception.
Il faut croire qu'il a marqué toute une génération, à voir les
commentaires Youtube sur ce court-métrage, qui dissèque chaque
scène pour découvrir des indices cachés qui révélaient la fin de
l'histoire...et pour cause !
Le suspens qui nourrit ce film se
compose de plusieurs éléments : d'abord, le personnage de la
petite fille, qui dévoile un caractère de cochon, prête à tout
pour avoir sa poupée, quitte à s'en emparer sans payer, ce qui la
condamne d'avance aux fruits de sa convoitise. Vient la musique, qui
se fait guillerette quand Alma marche dans les rues enneigées, et
parfois moqueuse, comme une voix off qui se jouerait de l'avidité de
cette fille, parfaitement consciente de ce qui l'attend si elle
s'empare de cette poupée.
Enfin, le bruitage, qui accentue les
craquement de bois des étagères, pour être presque aussi fort que
la musique, et qui entre le film dans un genre horrifique, quand les
bruits de pas d'Alma sur le carrelage de la boutique s'apparentent
plus à ceux de pas d'enfant dans un cave sombre et humide...
Pour la petite histoire, ce
court-métrage devait faire l'objet d'une adaption en long métrage
par DreamWorks Animation, chapeauté par le réalisateur Guillermo
Del Toro, mais le projet est finalement tombé à l'eau. Il
mériterait pourtant d'avoir le long-métrage qu'il mérite, car avec
sa morale claire, son esthétique recherchée et sa musique plus
parlante que des mots, ce petit bijou trouverait son public. Il
renouvellerait dans le même temps le genre de l'horreur et du cinéma
en général, entre concept réchauffé et peur de l'innovation quand
il s'agit aux gros studios d'investir pour des films plus ambitieux
scénaristiquement... car où est la magie du cinéma si l'on
n'encourage pas de nouvelles visions qui nourriront l'imaginaire de la prochaine
génération de réalisateurs qui s'ignorent encore ?
Pour conclure. Alma est un court
métrage à montrer aux enfants dès 6-7 ans, âge où la prévention
se doit d'être faite. Je ne vous révèlerai pas la fin, mais la
morale est claire, et un peu tragique : surtout, ne pas se
laisser tenter par des jouets merveilleux, en oubliant de faire
attention aux détails clefs qui nous indiquent que la situation est
dangereuse, sans quoi le pire peut arriver très vite, sans
possibilité de retour en arrière.
À
montrer absolument, tout en prenant le temps après le visionnage
d'en discuter avec son enfant : mettre des mots sur ce
qu'il a compris, analyser ce qu'il a vu, lui fournir des explications
sur la morale du court-métrage et sur ses significations cachées
(vous pourrez vous aider des commentaires Youtube, c'est une
véritable mine d'or d'esprit affutés). Un court métrage
efficace et marquant, qui nécessite un accompagnement parental après
sa projection.
Nouvelle
"Rencontre", Histoires pressées
Bernard Friot (2007, page 55-57)
Quand on veut acheter un livre à ses enfants sans trop savoir par où
commencer, on peut penser que « le plus récent, le mieux ».
Mais on en oublie le plus important : l'impact que cette œuvre
aura sur nous-mêmes. Notre perception d'une situation ou d'un sujet
peut s'en trouver modifiée, parfois affinée.
La nouvelle « Rencontre »
tirée du recueil « Histoire Pressées » de Bernard
Friot, publié en 2007, a eu un impact tellement fort dans ma psyché
d'enfant que je m'en souviens encore 15 ans plus tard. Mais en quoi
une nouvelle aussi courte, à peine trois pages, est-elle aussi
impactante pour l'enfant quand il s'agit de faire de la prévention
et de les protéger des prédateurs ? N'a-t-elle eu qu'un effet
sur moi, personnellement, ou son propos est-il si bien amené qu'il
peut toucher d'autres enfants à travers les générations ?
L'histoire a-t-elle bien vieilli avec son temps ?
Le point fort de cette nouvelle, c'est
l'écriture à la première personne, du point de vue de l'enfant. Il
rencontre un personne « bizarre », qui lui demande quelle
langue il parle, afin de pouvoir communiquer avec lui. La naïveté
de l'enfant se ressent quand il décrit la « politesse »
et la « gentillesse » du Monsieur (l'enfant utilise le
pronom « il » pour le désigner), dont le nom n'est
jamais révélé.
Le « comique » de la nouvelle est
l'apparence étrange de l'inconnu, qui a « une main pleine de
doigts », ou encore « trois jambes ». Ce qui, dans
le regard d'un enfant, semble drôle et étrange – rencontrer une
sorte d'alien qui veut t'emmener voir une machine pleine de phares de
toutes les couleurs, cachée au fond d'un parc – prend un sens bien
plus effrayant avec une lecture plus mature.
En effet, qu'un individu
adulte aborde un enfant, insiste pour qu'il reste discuter avec lui
et lui pose des questions suspectes (« il m'a demandé si les
instituteurs sont meilleurs à la broche ou au pot-au-feu ») se
heurte à son inexpérience de la vie, qui ne voit jamais le mal dans
ces questions (« J'ai bien été obligé de lui dire que je
n'en ai jamais mangé »).
Ainsi, cette nouvelle est très
instructive, car le point de vue naïf de l'enfant se heurte aux
intentions malsaines d'un adulte. Elle a également très bien passé
l'épreuve du temps, le récit ne s'ancrant pas dans une temporalité
trop précise, occultant toute référence à la technologie, ce qui
vieillit très rapidement un récit et fait qu'il ne passe pas la
génération suivante. Ce qui m'a marquée étant enfant, ce sont les
questions « bizarres » de l'inconnu, son apparence et son
insistance pour que l'enfant le suive dans son vaisseau... bien assez
pour m'alerte que quelque chose n'était pas normal.
Pour conclure, la nouvelle
« Rencontre » est le support idéal pour amener
l'enfant à une deuxième lecture, comme mon professeur me l'avait
fait en classe, car je me souviens avoir frémi du haut de mes huit
ans en comprenant le double sens de la dernière phrase, qui révèle
le funeste destin du petit garçon... Une nouvelle importante, à
lire pour que l'enfant comprenne bien qu'il faut se méfier des
promesses trop alléchantes...
Bonus : Livre sans dialogue
Suis-moi ! , Maja Kastelic ( 2017)
Pour« Suis-moi ! » est un livre sans dialogue, destiné aux
enfants à partir de 5 ans, écrit par Maja Kastelic et publié en
2017 pour son édition française. Un petit enfant blond, de 7 ans à
peine, se balade seul une fois la nuit tombée. Intrigué par un
chat, qu'il voit à travers l'embrasure de la porte d'entrée d'un
immeuble qui lui est inconnu, il décide de le suivre. Selon le site
de la maison d'édition française, Alice Jeunesse, « Le chat
devient notre guide pour cette aventure, et les souris nos complices.
Un livre sans texte, mais qui fourmille de détails que les enfants
découvriront avec émerveillement, dont une histoire en parallèle
avec deux petites souris. ».
Oh, à quel point les sentiments de
malaise, d'inquiétude et d'effroi se sont chevauchés pendant ma
lecture, pour ne faire plus qu'un à mesure que je « suivais le
chat » et les dessins d'enfant gribouillés sur des feuilles
volantes qui se trouvaient sur son chemin.
Tout d'abord, l'esthétique du livre
m'a mise mal à l'aise : certes, un livre pour enfant n'a pas
besoin d'être flamboyant de couleur pour être plaisant à lire :
il peut être en noir et blanc ou monochrome et teinté de poésie,
mais il ne doit pas tomber dans le lugubre. Ici, tout est enfumé,
comme si la ville était en pleine révolution industrielle et
qu'elle avait encrassé les façades des maisons. D'autres personnes
évoluent dans la rue, mais tous ont la forme d'ombres, comme si nous
étions dans un rêve où il nous était impossible de voir
clairement.
L'immeuble dans lequel s'aventure le
petit garçon s'ouvre sur une cage d'escalier taguée, comme laissée à
l'abandon. Cette sorte de grande propriété, où les murs des
parties communes sont envahis de tableaux, de portraits d'enfants
qu'on ne voit jamais, et de clefs dont on se demande ce qu'elles
ouvrent, est complètement vide d'occupants. Pourtant, l'immeuble
n'est pas abandonné : une table est dressée, la bibliothèque
est remplie de livres, des bouteilles au contenu inconnu trônent un
peu partout. Pour un enfant, c'est une caverne au trésor, mais pour
un regard adulte, plus le livre avance, plus cette assourdissante
solitude n'a pas l'air naturelle.
Le plus étrange est ce jeu à la
manière du Petit Poucet : suivant un chat adorable et
accompagné de deux souris bien rigolotes, l'enfant est happé par
des dessins qu'il collectionne avidement, tout au long d'un chemin
tracé à l'avance. C'est autre chose que des bonbons, alors ça ne
peut pas être dangereux, n'est-ce pas ? Mais que
découvrira-t-il au bout de son périple, tout en haut de l'immeuble,
après avoir grimpé l'escalier qui monte au grenier ?
Je vous spoile : une jolie petite
fille blonde de son âge. Car qu'aurait-il pu découvrir d'autre,
dans une maison vide, peuplée de dessins d'enfants,
et dont la porte qui mène au grenier, dotée d'un verrou, est
détériorée par de petits bâtons gravés sur son bois, à l'image
d'un prisonnier qui aurait fait le compte de ses jours de
détention...
J'ai lu des « avis » sur ce
livre sur certains sites de ventes ou de partage de livres très
connus. Nous savons bien que les gens qui écrivent un avis ont très
souvent reçu le livre gratuitement, mais je ne peux m'empêcher de
me demander : comment ne pas penser que ce livre délivre une
morale qui porte atteinte à la sécurité de nos enfants ?
Parce que l'enfant a sa « propre
vision de voir le monde », que les adultes ne « peuvent
comprendre », il faudrait leur enseigner qu'il est bon et sain
de se balader seul le soir et de suivre un « chat » et
des « souris » dans un immeuble qu'il ne connaît pas,
attiré par des « dessins » ? Mais OH, ce n'est pas
grave, il y avait une petite fille dans le grenier, dont la porte
était grande ouverte !
Pour conclure, ce livre, qui pourtant
fait des clins d'oeil aux auteurs de contes « rue Andersen »
« rue Grimm » aurait pu être intéressant, s'il avait
inclus une chute dans son histoire, à la manière d'un Hansel et
Gretel (des frères Grimm d'ailleurs). Il aurait suffi d'une
illustration supplémentaire à la fin, faisant un gros plan sur une
main d'adulte fermant à clef la porte du grenier pour amener une
chute efficace, et créer un véritable tour de force qui aurait
invité l'enfant à une seconde lecture plus attentive.
Ce livre, que je pense écrit bien
naïvement – et dont je m'étonne que personne dans le processus
d'édition ou dans les comités de récompenses de livres jeunesse
(car oui, ce livre a obtenu 3 récompenses........) n'ait eu une
lecture plus « parentale » et méfiante – n'est pas à
donner à un enfant jeune, encore moins à un enfant de 5 ans, qui
n'a pas une lecture adulte et subtile des dangers de ce monde.
Bien que le but de ce livre n'est pas de délivrer une morale ou d'alerter les enfants sur les dangers des prédateurs, je vous le déconseille fortement. Si vous souhaitez faire de la prévention à votre enfant – ou tout simplement ne pas l'exposer à une morale douteuse, qui récompense sa curiosité inconsciente et sa convoitise – il y a des œuvres conçues bien plus intelligemment sur le marché.
Ainsi, même si le livre a gagné le prix « Sélection "Lire et faire Lire" des nouveautés littérature jeunesse 2016-2017 », il ne faut pas accorder plus de crédit à une œuvre si elle est primée. Seuls le contenu et le message comptent.
⇩ Voici la version vidéo en moins d'une minute ⇩
Pour conclure, les livres les plus
récents ne sont pas forcément les plus adaptés : il faut bien
lire un livre ou regarder un film avant de le donner à son enfant,
surtout quand on veut les sensibiliser à un sujet aussi délicat et
important.
Retrouverez une sélection d'articles,
Afin de bénéficier de supports pour éveiller, éduquer et protéger votre enfant
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Comment abordez-vous ce sujet avec vos enfants ?
Avez-vous des films, livres à partager ?
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J'ai abordé ce sujet avec mes filles de façon verbale, en parlant des danger de suivre ou d'approcher des inconnus, et aussi en faisant des mises en situation. Par contre, je trouve judicieux d'utiliser un court métrage ou des livres pour appuyer nos propos; cela peut en effet laisser une plus forte impression à l'enfant.
RépondreSupprimerMerci pour ces suggestions! Bisous, bonne journée
Hello Isabelle,
SupprimerC'est une excellente prévention, tu as fait ton devoir de parent. Les mises en situation sont une très bonne idée, je la garderai pour mes enfants.
Bien qu'il s'agisse d'un sujet "tabou", ce n'est pas en évitant le sujet que l'on protégera les enfants. L'omerta n'amène qu'à des souffrances silencieuses qui nous rongent de l'intérieur, et ce n'est pas en faisant l'autruche que l'on règle le problème : bien au contraire, on y participe par notre manque de courage, et en imaginant que ça n'arrive qu'aux autres.
C'est une excellente idée la mise en situation.
SupprimerTrès belle soirée Isabelle
Cet article me fait penser à une scène de mon livre jeunesse où une petite fille rencontre le plus gentil de mes monstres, et celui-ci fait une petite phrase de prévention à la fin, en disant que même s'il y a des gens gentils, il ne faut pas suivre les personnes que l'on ne connaît pas. :)
RépondreSupprimerHello Romain,
SupprimerBien que n'ayant pas lu tous les livres jeunesse qui existent, je trouve qu'il y en a assez peu qui délivrent ce genre de morale. Je trouve ça vraiment important et responsable de ta part d'avoir fait de la prévention, parce qu'une petite phrase de morale comme ça peut sauver l'enfant qui lit ton livre.
D'ailleurs, j'ignore si tu as déjà fait cette démarche pour faire connaître ton livre jeunesse, mais ayant travaillé dans une médiathèque, je sais qu'elles reçoivent des envois presse de nouveauté (livres). Peut-être pourrais-tu envoyer ton livre à la médiathèque de ta ville, avec une note explicative. Qui sait ? C'est un bon moyen de faire connaître de ton histoire et de partager une bonne morale, tout ça à un coût très faible. :)
Mon livre n'est pas encore sorti mais je vais y réfléchir, merci pour l'information ! :)
SupprimerAprès, ce n'est vraiment qu'une seule phrase dans toute l'histoire. Mais elle vient d'un personnage qu'on a envie d'écouter. ^^
Conclusion : faut bien lire ou regarder avant de donner :)
RépondreSupprimerNous faisons toujours ça mais il est bon de le rappeler. Bises
Hello,
SupprimerTout à fait :)
Abolument : toujours s'assurer que l'écrit répond bien à nos valeurs et qu'il ne propage pas d'idées dangereuses.
SupprimerBises
bonjour, comment vas tu? merci pour la découverte de ces oeuvres. je n'en connais aucune. je garde la vidéo sous le coude pour plus tard. j'ai énormément de retard sur mon travail pour le moment... passe un bon mercredi et à bientôt!
RépondreSupprimerHello,
SupprimerJe te souhaite de pouvoir rattraper ton travail au plus vite et avec le moins de stress possible :)
Cet article présente deux œuvres marquantes qui cherchent à protéger nos petits bouts des prédateurs. Tu y soulignes à juste titre l'importance de la prévention dès le plus jeune âge et tu explores comment certaines œuvres peuvent réellement influencer la perception des enfants sur ce sujet sensible. Les exemples que tu partages, comme le court métrage "Alma" et la nouvelle "Rencontre", sont très pertinents pour illustrer cette approche. Cependant, tu soulèves des préoccupations intéressantes concernant le livre sans dialogue intitulé "Suis-moi !", et tu te demandes à juste titre s'il est vraiment approprié pour les enfants. Cela met en évidence l'importance de sélectionner soigneusement les œuvres destinées à sensibiliser les jeunes. Tu termines en mettant en avant l'importance de la communication parent-enfant et de l'accompagnement pour aider les enfants à bien comprendre les risques et à rester vigilants. Un article informatif et réfléchi qui donne matière à penser pour les parents soucieux de protéger leurs enfants des dangers potentiels. Bravo pour cette analyse approfondie !
RépondreSupprimerHello Samantha,
SupprimerTu as tout bien résumé ! Je suis contente que l'article t'ait marquée à ce point :)
Coucou ! Mes parents m'ont beaucoup parlé de ce genre de choses quand j'étais petite. Surtout qu'on était à l'époque en pleine "affaire Dutroux", donc beaucoup de prévention de la part des adultes à l'époque. C'est bien qu'il y ait de la littérature et des courts-métrages adaptés aux petits pour ce genre de questions. Et c'est important de continuer à sensibiliser. Bisous
RépondreSupprimerHello Elodie,
SupprimerJe crois que nous avons pour la grande majorité eu de la prévention, ce qui est une bonne chose. :)
Histoires pressés est un classique, je l'aime beaucoup! Je vais de ce pas voir alma que je n'ai jamais vu!
RépondreSupprimerHello Ellye,
SupprimerJe l'ai beaucoup aimé étant enfant, même si la nouvelle "Coup de Gigot" de Roald Dahl m'a énormément marquée aussi !
Coucou !
RépondreSupprimerAlors je suis contente d’avoir vu ce court métrage que je ne connaissais pas. J’ai reconnu l’esthétique Gaudi dans la fenêtre et la porte!
Il fait bien réfléchir en effet et invite à la réflexion en groupe classe.
Je connaissais la nouvelle. Friot est un classique en littérature jeunesse.
Je découvre l’album d’autre part.
Bises Aimie!
Julie Lab.
www.paillettesengoguette.com
Hello Julie,
SupprimerOui, comme le réalisateur est espagnol, l'esthétique Gaudi fait sens. Bien joué de l'avoir reconnu ! J'aime quand les architectures ont l'originalité et la liberté d'exprimer un style aussi affirmé et reconnaissable, ça rend le quotidien merveilleux. :)
La bise !
C'est intéressant d'en parler, surtout avec les livres, c'est une bonne approche. Je vais retenir ces titres pour plus tard, quand j'aurai des petits bouts.
RépondreSupprimerBisous
Hello,
SupprimerHeureuse de te les avoir fait découvrir. :)
Coucou Natie,
RépondreSupprimerJe ne connaissais pas Alma. Je me le note.
Passe une agréable fin de semaine, bisettes